Pour défendre mes concitoyens européens, je veux faire de l’Europe une puissance respectée, capable de garantir notre modèle social continental et défendre nos valeurs face à l’Amérique de Donald Trump, la Russie de Vladimir Poutine et la Chine de Xi Jinping.
Vous le voyez, l’Europe est au cœur de mon engagement politique.
Comme beaucoup de nos concitoyens européens, je pense que nous devons nous unir pour créer une puissance publique européenne. Une « res publica » qui puisse peser sur les affaires du monde, défendre la Paix, nos valeurs humanistes et un développement durable ambitieux pour la planète.
L’Europe qui protège, l’Europe souveraine ne se construira pas simplement avec une France forte ou une Allemagne forte. Je crois que pour réussir ce projet, il est urgent de mener une action politique concrète avec l’ensemble des citoyens européens : Français, Allemands, Italiens, Néerlandais, Belges, Espagnol, Autrichiens…
C’est pour cela que j’ai créé le Parti Fédéraliste Européen. En 2011, j’ai rencontré à Salzbourg en Autriche, Bengt Beier, un jeune Allemand, étudiant en droit. Ensemble, nous avons œuvré à la construction du premier parti politique transeuropéen.
Six mois plus tard, à Paris, nous lancions officiellement le mouvement. Le Parti Fédéraliste Européen a eu l’honneur de compter comme membre fondateur, le très regretté Marco Pannella. Compagnon de route d’Altiero Spinelli, Marco Pannella a été le fondateur historique du Parti Radical Italien. Il a été parlementaire de très nombreuses fois en Italie et à Bruxelles.
Notre mouvement politique a déjà obtenu quelques succès. Notre campagne « Europeans for Fair Roaming », a conduit à la suppression définitive – le 15 juin 2017 – des frais d’itinérance téléphonique dans l’UE. D’autres campagnes ont suivi, comme « Common Borders », sur le thème de la surveillance des frontières de l’UE.
En 2014, nous avions réalisé la première électorale campagne vraiment européenne.
Lors des élections européennes de 2014, nous avons réussi une mobilisation électorale citoyenne en présentant un programme en 60 points et des listes dans 5 pays (France, Belgique, Autriche, Italie et Grèce). A cette occasion, j’ai pu entretenir une collaboration fructueuse avec Guy Verhofstadt, ancien Premier ministre belge et fervent eurodéputé fédéraliste. Il était alors Spitzenkandidat, candidat à la présidence de la Commission.
Quelques mots sur ma vie personnelle
J’ai 53 ans, né en Bretagne, je suis lillois depuis près de 40 ans et travaille à Paris, Lille et Bruxelles. J’ai une double formation. Diplômé d’une école d’arts graphiques, je suis également diplômé de Sciences Po Paris. J’ai également suivi une formation – dans le cadre de la formation professionnelle – à l’École Nationale d’Administration (ENA), où j’ai pu me familiariser avec les questions économiques, juridiques, sociales et européennes.
Après plusieurs expériences salariées, je suis aujourd’hui chef d’entreprise. Je dirige depuis quinze ans une agence de communication institutionnelle et financière.
S’agissant des affaires publiques et de l’engagement au service de la collectivité, je suis très attaché aux valeurs de probité et de transparence. Il est inimaginable que ces valeurs puissent être absentes d’un parcours politique. Je plaide également pour une meilleure répartition des richesses sur le territoire français, plus de solidarité entre les régions et la reconnaissance des cultures locales.